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| Photo officielle de la course : prise vers le départ, on est encore tout frais ! |
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Avant la course
Visite du village Belvès, classé dans les plus beaux villages de France. Comme c’est un village perché, c’est très joli, sauf que cela signifie que la course se terminera par deux km de montée assez rude, et cette perspective est plutôt inquiétante à la veille du départ.
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Préparation du vélo avant la course : très important. Le montage du porte-bagage, les sacoches de décat’, et l’accessoire indispensable, la petite sacoche à l’avant pour pouvoir attrapper les barres céréales en roulant ! |
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Après un lever à 6h du matin, un gatosport, nous voici près alors que le soleil se lève à peine sur la place du village.Le temps semble assez pluvieux, quelques gouttes tombent, mais rien d’inquiétant pour l’instant. |
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Départ des accompagnateurs à 7h20. La polaire est encore de rigueur pour les accompagnateurs en vélo car il fait encore assez frais, surtout dans la descente pour sortir de Belves : 40 km/h, ce sera le plus rapide de la journée.
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8h04 L’heure du départ : Benjamin est en première ligne, encore plein d’optimisme. |
| Après une petite heure d’attente au neuvième km, les accompagnateurs à vélo voient la voiture chrono arriver, suivie du premier coureur. |
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Et voici Benjamin, qui a une bonne foulée, à environ 11km heure. L’optimisme règne toujours. |
| On s’approche du 25 km, toujours à un bon rythme. L’occasion de partager les récits glanés auprès des vieux routards qui en sont à leur n ième 100km. |
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25 km : toujours une bonne foulée, mais premières interrogations, sera-t-il possible de tenir ce rythme pendant 100km ? |
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| Les ravitaillements, sous les chateaux de la Dordogne : pain d’épice, pates de fruits, chocolat, rillette, emmental, vache qui rit, pruneaux, figues… mais pas de fois gras au grand désespoir de Cécile qui aurait bien fait un déjeuner sandwich fois gras aux figues sèches… sniff ! Ce ne sera pas de la nourriture de châtelains pour aujourd’hui. |
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Benjamin, dans un paysage magnifique.
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Le soleil se lève, la Dordogne nous offre des vues superbes, dont Benjamin commence à avoir du mal à profiter. |
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Aller Benne ! |
| Le panneau 40 km 🙂 Le rythme se ralentit un peu, mais la foulée est encore confiante. |
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Le Marathon : mais cette fois, il reste encore quasiment 1 fois et demi la distance. Ce sera difficile !
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La montée vers Sarlat, un interminable faux plat, avec une piste cyclable dans les bois. Très joli, mais sera-t-il possible de terminer ? |
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| L’arrivée au 50 ème km, qui respecte l’objectif initial : 50km en 5h. Mais on sait maintenant qu’il ne sera pas possible de tenir jusqu’au 100 ème km à ce rythme. A quelle heure va-t-on finir ? |
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La deuxième moitié du parcours devra se faire au mental ! Mais au km 55, un petit peu de lassitude :p Benne, on a confiance en toi !
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Ce n’est pas grave, on se reprend avec une belle foulée ! |
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Il commence à faire chaud, Cécile se passe de sa veste fushia. Pourvu qu’il ne fasse pas trop chaud, même si on est content d’avoir évité la pluie. |
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km 65 : ce panneau s’est fait mériter ! |
| Avec la casquette de l’Ironman, on ne peut pas abandonner ! |
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Et les paysages nous empêchent de regretter d’avoir choisi cette épreuve ! |
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C’est Benjamin, sur la photo (de dos, en tout petit) : en homme solitaire qui affronte l’inconnu :p
Courage Ironbenne (citation de Marcel par SMS)
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Jolie photo d’un chateau derrière un arbre, par Cécile qui a décidément du temps pour admirer les paysages. |
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km 80 : Il aura été durement mérité. A ce stade, ce n’est plus possible d’abandonner. |
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Aller Benne, il faut courir !
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km 85, l’énergie est revenue : cette course se finira ! |
| Et Cécile a gardé le sourire, pour encourager Benne ! Le resto est réservé à 21 h, on ne peut pas rentrer trop tard, il faut donc finir, et à un bon rythme. |
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Ce panneau fait plus plaisir que tous ceux d’avant. 90 km, c’est bientôt la fin ! |
| Un petit ravitaillement avant de repartir, c’est l’heure de s’asperger d’eau. C’est le mental, pas les jambes qui décide ! |
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C’est bon, il ne reste que 3 km. Benne pourra-t-il encore courrir ? |
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Dernier km, dans la montée. C’est dur pour le courreur et son accompagnatrice
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Incroyable, Benjamin trouve l’énergie de courir dans la dernière montée ! Cécile doit faire de gros efforts pour le suivre ! |
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Il l’a fait, en 12h10 minutes. Allez, Benne, l’Ironman cent bornards ! |
| Et après l’effort, le réconfort ! Pourquoi se priver des soins de deux jeunes filles qui se proposent gentiment de s’occuper d’un des Benjamin de l’épreuve 🙂
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